Well, I never thought we would be entering a video contest so soon in our company journey! Rootree’s RT Foundation announced their mini contest mid-October and we had just a few short weeks to come up with a creative idea and bring it to life. As good ideas usually do, this one came to me late at night when I was brushing my teeth and getting ready for bed. With the prompt “what captures the essence of what you do and what makes your business unique?”, it seemed natural to showcase the journey of our seaweed from storm to package.
What really makes our product unique is the way our seaweed is harvested and prepared for processing. Typical seaweed fertilizers and kelp meal are usually made with seaweed cut directly from live plants, in highly regulated zones that are leased by harvesters. Our seaweed is gathered from the beaches of Prince Edward Island where it naturally washes ashore after strong winds and storms. It is then sun-dried in fields the way they used to back in the 1950s.
Challenges in the filming process
This can be a weeks-long unpredictable process depending on the weather, so trying to film each step with a deadline proved to be a bit challenging. We first needed a storm to bring some seaweed to shore, then we needed nice weather to film it drying in the sun and no wind to film the tractor scenes. So while we waited for the weather to cooperate, I tried to think of ways we could use our limited resources (a smartphone, tripod and whatever else I could find lying around the house or my in-laws’ fishermen’s workshop) to visually capture the ideas I had in my head. There definitely was a whole lot of standing around thinking in between shots, but with a bit of ingenuity, we found workarounds for all of our problems.
One tip I found online to film in the water without ruining your phone: tape it to the inside of a clear plastic container. I had a spare glass aquarium and used clear packing tape to secure my phone. Bonus, the touch screen still works through the tape! I added a bit of sand in the back to counterbalance the weight of the phone and keep the aquarium ride as smooth as possible.
Unfortunately, I couldn’t find a field of seaweed during my filming time frame, so I had to make my own with a bit of clever camera angles.
The most challenging scene to film was the seaweed going into the crusher. I really wanted it to be a first person point of view, but wasn’t willing to destroy my phone in the process. So I heavily taped it to the tripod and taped the tripod to a fishing rope before sending the apparatus down the belt. At the last minute, I would pull everything back and repeat.
Ultimately, I think we really did capture the essence of our company: down-to-earth, passionate about plants and the environment, and we don’t take ourselves too seriously.
If you would like to try Seafeed in your garden or with your houseplants, head over to our shop. Tag us in your plant photos on Facebook and Instagram, we love seeing what you grow!
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Je n’aurais jamais cru que nous participerions à un concours de vidéo si tôt dans le parcours de notre entreprise! La Fondation RT de Rootree a annoncé son mini-concours à la mi-octobre et nous n’avions que quelques semaines pour trouver une idée créative et lui donner vie. Comme toutes les bonnes idées, celle-ci m’est venue tard dans la nuit, alors que je me brossais les dents et que j’allais me coucher. Avec l’invitation “Qu’est-ce qui capture l’essence de ce que vous faites et qui rend votre entreprise unique?”, il semblait naturel de montrer le parcours de nos algues de la tempête à l’emballage.
Ce qui rend notre produit vraiment unique, c’est la façon dont nos algues sont récoltées et préparées pour le traitement. Les engrais à base d’algues et la farine de varech habituels sont généralement fabriqués à partir d’algues coupées directement des plantes vivantes, dans des zones hautement réglementées louées par les récoltants. Nos algues sont récoltées sur les plages de l’Île-du-Prince-Édouard où elles s’échouent naturellement sur le rivage après des vents forts et des tempêtes. Elles sont ensuite séchées au soleil dans des champs, comme on le faisait dans les années 1950.
Les difficultés du tournage
Il s’agit d’un processus imprévisible qui peut durer plusieurs semaines en fonction de la météo, et il s’est avéré difficile de filmer chaque étape dans les délais impartis. Nous avons d’abord eu besoin d’une tempête pour ramener des algues sur le rivage, puis de beau temps clément pour les filmer en train de sécher au soleil et de zéro vent pour filmer les scènes de tracteur. Alors, en attendant que le temps coopère, j’ai essayé de trouver des moyens d’utiliser nos ressources limitées (un smartphone, un trépied et tout ce que je pouvais trouver dans la maison ou dans l’atelier de pêche de ma belle-famille) pour capturer visuellement les idées que j’avais en tête. J’ai passé beaucoup de temps à réfléchir entre les prises de vue, mais avec un peu d’ingéniosité, j’ai trouvé des solutions à tous nos problèmes.
Une astuce que j’ai trouvée en ligne pour filmer dans l’eau sans abîmer son téléphone: le scotcher à l’intérieur d’un bac en plastique transparent. J’avais un aquarium en verre de rechange et j’ai utilisé du ruban adhésif d’emballage transparent pour fixer mon téléphone. Bonus, l’écran tactile fonctionne toujours à travers le ruban adhésif! J’ai ajouté un peu de sable à l’arrière pour contrebalancer le poids du téléphone et faire en sorte que le voyage en aquarium soit aussi stable que possible.
Malheureusement, je n’ai pas pu trouver de champ d’algues pendant la période de tournage, j’ai donc dû en fabriquer un avec des angles de caméra astucieux.
La scène la plus difficile à filmer a été celle du passage des algues dans le broyeur. Je voulais vraiment que ce soit un point de vue à la première personne, mais je ne voulais pas détruire mon téléphone dans le processus. Je l’ai donc scotché au trépied et j’ai scotché le trépied à une corde à pêche avant d’envoyer l’appareil sur le tapis roulant. À la dernière minute, je tirais sur la corde pour tout ramener et je recommençais.
En fin de compte, je pense que nous avons vraiment capturé l’essence de notre entreprise: terre-à-terre, passionnés par les plantes et l’environnement, et nous ne nous prenons pas trop au sérieux.
Si vous souhaitez essayer Seafeed dans votre jardin ou avec vos plantes d’intérieur, rendez-vous sur notre boutique. Taguez-nous dans vos photos de plantes sur Facebook et Instagram, nous adorons voir ce que vous faites pousser!